Ces deux dernières années, j’ai dû réaliser une dizaine de CDG-YUL avec AF et j’ai cru comprendre que deux éléments jouaient en la défaveur de l’A380. Tout d’abord le coefficient de remplissage de la classe Affaires qui peinait systématiquement à dépasser les 50%, alors que les classes Y et W étaient pleines. Enfin, les infrastructures à Montréal semblaient en définitive inadaptées pour recevoir l’A380. Non pas que les deux passerelles pourtant spécialement installées pour recevoir le « superjumbo » étaient insuffisantes, mais le délais d’attente à la douane et de livraison des bagages était déraisonnable.
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